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Photo du rédacteur: Christian Paul ANDRÉChristian Paul ANDRÉ


PARIS s'éveille : le Vélo c'est la santé

La République est en danger

A l'usage de ceux qui roulent le 11 mai



Avant-propos

J'allais faire quelques courses hier prés du square René COTY. Bien que le temps grisonnant et le manège des enfants à l'arrêt n'aidaient pas à me réchauffer, mon humeur s'ouvrit lorsque je passais devant le marché du Charentonneau. Il me revint en mémoire les bons moments des courses ensoleillées du mercredi et du samedi, les petits échanges avec mon ami JD  (Jules DESPLATRES) au pied de son vélo électrique.

JD est un écolo de la première heure. Fin pêcheur, il rejette toujours ses poissons lorsqu'il pêche en bords de Marne pour préserver la faune. Depuis longtemps il a abandonné sa voiture pour ses déplacements professionnels. Chef d'entreprise il se rend quotidiennement à Paris en vélo pour y travailler et faire le tour de la quinzaine de magasins qu'il dirige. Le 11 mai, il reprendra son vélo avec beaucoup d'autres. 

Place aux vélibeurs et cyclistes

Le 11 mai de nombreux vélibeurs et cyclsites vont prendre d'assaut la capitale sur les 50 km de voies cyclables aménagés par la Ville de Paris pour la circonstance.

Fini les voitures rue de Rivoli et dans certaines autres, le roi vélo règne. C'est une semaine historique presque révolutionnaire que nous permet un retour au travail après la pandémie COVID-19, malheureusement toujours active.

Il faut en féliciter tous les élus pour leurs initiatives.

En Val de Marne et à Maisons Alfort, nous ne sommes pas en reste. Le plan d'urgence lancé par le département va mettre en place 40 km en plus de voies cyclables sur les 410 km attendus. Notre bien-aimé ligne 8 fait partie des heureux élus. Merci à nos édiles Val de Marnais.

Un nouvel atout vient au palmarès de notre ville pour compléter les 75 hectares de verdure, les 14 squares, 2 jardins et les 3500 arbres au pied de nos habitations.

Il faut se féliciter que l'écologie ne devienne plus du long terme. Nous la vivons dans l'immédiat tant mieux. J’apprécie la réactivité de nos gouvernants par la mise en place d'une prime de 50 euros pour faire réparer son vélo, celle de la région Île de France Mobilité qui a mis en place une prime de 500 euros pour les 2 roues électriques. Faisons-en profiter nos commerçants maisonnais si nous n'avons pas de vélo.

Essayer c'est faire le premier pas

Pour autant, la voiture sera encore redoutable le 11 mai bien que l'on estime que le 5

millions de voyageurs pendulaires seront réduits à un million seulement en favorisant le télétravail ou en décalant le travail dans certaines entreprises. Il est donc nécessaire de ne passe déplacer pour faire ses courses et laisser la place aux travailleurs.

Il faut se féliciter que l'écologie ne devienne plus du long terme. Nous la vivons dans l'immédiat tant mieux. J’apprécie la réactivité de nos gouvernants par la mise en place d'une prime de 50 euros pour faire réparer son vélo, celle de la région Île de France Mobilité qu a mis en place une prime de 500 euros pour les 2 roues électriques. Faisons-en profiter nos commerçants maisonnais si nous n'avons pas de vélo.

On peut aussi rêver que notre municipalité suive le mouvement, nous aide aussi et pour le moins en nous aidant à la rédaction des dossiers de subvention avec nos commerçants.


Voilà nous entrons dans un monde qui change. Accompagnons-le comme JD.


Une bonne adresse pour acheter ou faire réparer un vélo à Maisons-Alfort

Cyclable Maisons-Alfort

91 Rue Carnot

94700 Maisons-Alfort

01 53 66 39 26

et une petit refrain pour se mettre en forme .. cliquez sur la vidéo






Dernière mise à jour : 5 mai 2020



À ceux qui le souhaite

aidons notre municipalité

à ré-ouvrir nos écoles




Avant-Propos


Face au défi de ré-ouvrir les écoles le 11 mai, les maires du Val de Marne sont confrontés à la gestion d’une situation de crise : celle de prendre des décisions dans un univers incertain dont on ne maîtrise pas tous les paramètres. Ils font réellement l’expérience des grandes difficultés de leur gouvernance face Covid-19 et des décisions à prendre qui les engage..

En lisant la lettre au Président de la République des maires de France qui demandent un nouveau délai pour la réouverture des classes, je revis le quotidiens des décisions d’entreprise et de la gestion de projet.

Je revois mes collaborateurs qui me demandaient plus de temps pour finir leur travail car le sujet étaient complexes. Ils argumentaient qu’ils n’avaient pas encore les informations nécessaires pour me donner leurs conclusions. Ils argumentaient qu’ils n’avaient pas assez d’effectifs ou étaient surchargés de travail. Ils pointaient les dysfonctionnements informatiques, désignaient des coupables pour se justifier qui ne leur avaient pas donner la bonne information et même des soucis familiaux.

Bref ils m’assenaient autant d’arguments plausibles qui m’auraient fait céder et je ne cédais pas. Je leur expliquais que face à l’urgence, il faut prendre un risque mesuré et des risques il y en a toujours. S’ils avaient le devoir de ne pas se tromper, ils avaient le devoir d’agir. Je leur proposais de me fournir un point d’étape et certains indicateurs pour prendre une décision. J’étais fidèle au bon sens paysan de mon grand-père corse qui gravissait la montagne tous les matins à 4 heures : c’est en marchant que l’on avance quel que soit le temps.


De nombreux maires du Val de Marne demande un délai pour la réouverture



36 maires (sur 47) d’Île de France, signataires de la requête, sont confrontés à prendre des décisions dans ce contexte encore plus difficile qui peut impacter la santé de leur concitoyen face à un ennemi dont on ne sait encore comment il se comportera.

Après avoir réclamé leur autonomie face à un État qu’ils jugeairnt trop centralisateur et peu transparent les voilà à devoir prouver qu’ils sont capables d’assurer cette autonomie. C'est un défi.

On ne grandit pas en une semaine et beaucoup de données manquent à nos maires.

Il y a l’incertitude sur le nombre et la disponibilité des enseignants, des ASEM et des personnels de service, des animateurs. Ils s’interrogent sur les effectifs des classes à accueillir. Ils questionnent sur la priorité d’accès des enfants en fonction de la situation professionnelle des parents en suivant un impératif « de justice et d’équité ».

Enfin, nourriture de toute gestion municipale, la question du financement de ce retour à l’école qui nécessitent de nouveaux moyens (masques, protocole sanitaire et personnel supplémentaires) est très justement posée.


Pour nous maisonnais.es, ces questionnements appellent à nous interroger sur le trop lourd cloisonnement qui existe entre la gestion municipale et le citoyen. Il ne s’agit pas là de propos politiques mais de constater notre incapacité à nous citoyens à faire remonter à notre maire ce que nous voulons.

Pourtant nous disposons tous d’outils de communication, le site « Je viens de.. Maisons- Alfort » en est une preuve.

Il est important pour l’avenir qu’une vraie gestion qu’on appelle 2.0 soit mise en place.

De l'incertitude des solutions


Pour l’instant, nous devons lutter contre l’incertitude et prendre des décisions à faible risque sanitaire même si elles sont imparfaites.



Le choix d’ouvrir une ou deux écoles après le 11 mai, à effectif réduits même en dessous de 15, pourrait-être une bonne solution.

À ce jour, chaque directrice d’école connaît les enseignants qui n’exerceront pas leur droit de retrait, les effectifs d’élèves qu’ils jugent acceptables et les conditions sanitaires minimum qui sont requises.

L’arbitrage d’un retour à l’école est sujette au besoin, à l’avis des parents et à l’enfant. Il est donc utile que soit mis en place une base de données municipales sur ces principes. L’envoi d’un questionnaire parait facile via les carnets électroniques ou les adresses mails détenus par les établissements scolaires. La décision finale serait soumise à la maîtresse de la classe pour réunir ses effectifs.

Le débat sur le financement de moyen à mettre en œuvre reste ouvert mais il ne faut pas s’illusionner ne période de crise ce n’est pas le budget qui est le maître, nous savons tous que nous paierons en impôt cette crise que l’impôt soit municipal ou national.


Il faut donc passer à l’action. Le retour à l’école total ne sera pas pour tous le 11 mai. Comme le déconfinement, il sera progressif.

Alors essayons d’ouvrir une ou deux écoles. La semaine d'après on verra bien si la montagne est plus dure à gravir que dans nos prévisions.


Qu’en pensez-vous ?

Que pouvons-nous faire ensemble pour aider notre municipalité ?

PS : je tiens à féliciter la membre du réseau qui a produit un sondage pour le retour à l’école hier. C’est une très bonne initiative. Elle laissait apparaître qu’une large majorité des sondés étaient indécis. Il est donc important de se prononcer.

Photo du rédacteur: Christian Paul ANDRÉChristian Paul ANDRÉ







Les Masques chirurgicaux - Faut-il les acheter ?




AVANT PROPOS


Hier, ça a chauffé sur le site « Je viens de... Maisons-Alfort » avec le prix des masques chirurgicaux. Ce sujet est un peu en dehors du champs de nos relations bien qu’ils concernent les commerces maisonnais de la grande distribution et bien sûr nos portes-monnaies maisonnais


.

Un membre du réseau fait remarquer que le prix des masques chirurgicaux jetables, qu’il faut changer régulièrement toutes les 4 heures, valaient 8 centimes d’euros pièce en janvier. Ils seront vendus par la grande au prix de 60 centimes, soit une augmentation de 650 % qui défie toutes les lois de la spéculation même pétrolière !

C'est environ 200 millions de chiffres d’affaires à sortir des cagnottes des ménages français. 200 millions c’est 40% des 500 millions d’euros obtenus difficilement de la commission européenne par notre ministre de l’économie Bruno LEMAIRE, il y a peu de temps.

Je m’interroge donc faut-il acheter ce type de masque ?

Les grandes surfaces coupables d’omission et d’absence créativité

Les chiffres sidérants annoncés en cœur par la grande distribution (Carrefour, Auchan, Aldi, Groupe Casino, Cora, Intermarché, Leclerc, Lidl, Système U et +) pour la mise à disposition au public de 400 millions de masques dans les magasins de distribution alimentaire à partir du 4 mai sont de la communication abusive pour les consommateurs.

Il s’agit en effet de commandes qui s’étaleront sur plusieurs mois et non de stocks à la vente. Le consommateur ne doit pas être dupe de ces artifices marketing, ni être pris pour une vache à lait manipulée par la croyance que les masques nous sauverons face au coronavirus.

Les grandes surfaces devant le tollé de cette publicité outrancière où chacune d’elle essaye de tirer les meilleurs œufs du panier : vente par paquet de 10 au lieu de 50 ( c’est moins cher), vente discrétionnaire à la caisse, inscription sur internet, pré-commande en carte de fidélité, limitation à 2 masques par foyer et autres stratégies de pêche au filet dans la mer de la peur et de la pénurie.

Le sujet le plus grave est que 10 à 15 millions de masques chirurgicaux seront mis sur le marché (selon les grandes surfaces). Y en aura-t-il plus ? Il est donc légitime de penser que ces masques étaient stockés bien avant. S’ils sont aux normes AFNOR, ils doivent être rediriger vers nos soignants et vers les pharmacies qui sont seules habilités à les vendre, dans le cas contraire détruits car inopérants et peut-être dangereux.

« Toute guerre a ses profiteurs. C’est malheureusement une loi intangible de nos conflits. Comment s’expliquer que nos soignants n’aient pas pu être dotés de masques quand on annonce à grand renfort de communication tapageuse des chiffres sidérants de masques vendus au public par certains circuits de distribution ». (Communiqué de l’ordre ordre des médecins) Je rejoins donc un membre du groupe qui suggère que ces masques soient redirigés vers les hôpitaux et saisis par l’État qui ne peut se rendre coupable de trafic et de spéculation immorale. Il faut condamner ces pratiques et nous seuls pouvons le faire en refusant de les acheter.

Les masques en tissu répondent à nos besoins

Les différentes normes de masques tissu édictées par l’AFNOR, si elles sont correctement étiquetées sur nos produits (« testé 5 lavages », « testé 10 lavages », « testé 20 lavages » et « testé 30 lavages »), permettent au consommateur de choisir son masque.

3 masques sont nécessaires par jour (enfants de plus de 7 ans) : matin, après-midi et un secours.

La sécurité de filtration d’un masque en tissu est suffisante en complément des gestes barrières. Le masque protège dans les endroits confinés (magasins, bureau, transport en commun, réunion communautaire, marchés s’ils sont ouverts) avec un taux équivalent de protection presque identique aux masques chirurgicaux.

Le masque tissu est avant tout un article pour protéger les autres en cas de postillons et se protéger soit même contre le virus diffusé en aérosol (fines gouttelettes en suspension). Il doit être utilisé avec les gestes barrière (respect du mètre, se laver les mains régulièrement, être enlevé sans toucher le tissu, etc.. ).

Le prix de revient d’un masque tissu sera d’environ 5 euros soit 15 euros par mois et par personne comparé au coût de 60 euros par mois et par personne pour les masques chirurgicaux en faisant attention de ne pas trop en jeter.

Pour nous consommateurs et maisonnais.es, je pense qu’il est raisonnable d’utiliser des masques en tissu.

Utiliser ceux du département mis à la disposition par de la mairie. Ils sont distribués gratuitement et plus si l’on en veut bien montrer patte blanche avec sa déclaration d’impôt.

Il faut à ce titre remercier le département, le maire et les efforts de la municipalité et ses fonctionnaires, féliciter les bénévoles pour avoir mis à disposition ces masques.

Cela laisse le temps aux maisonnais.es de ne pas se précipiter dans les antres de la grande distribution qui ne sont pas croyez-le des cavernes d’ALIBABA.

Préférerons lui nos commerçants de proximité.

Masque montre toi !




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